ARSTM: le col. Karim Coulibaly reçoit les félicitations du secrétaire général de l’OMAOC
Le Dr Paul Adalikwu secrétaire général de l’Organisation maritime de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (Omaoc) a effectué une visite de travail, le mardi 26 juillet 2022 à l’Académie régionale des Sciences et Techniques de la mer (Arstm). L’objectif stratégique de cette visite était de s’imprégner de la gouvernance de cette institution sur le plan académique. C’est une mission qui participe à l’idée de relance des activités de l’Omaoc.
Après la visite des équipements, des laboratoires et des ateliers de formation de l’académie, le tout nouveau secrétaire général de l’organisation maritime ouest africaine a salué le travail abattu par le directeur général de l’Arstm, le col. Karim Coulibaly, qui « chaque jour travaille pour la renommée et le leadership de cette académie ». Ce qui est une réponse aux défis liés à la sécurité maritime et portuaire. « Ce que j’ai visité et vu ici notamment les équipements, me laisse une très bonne impression. Je suis également impressionné par la qualité du travail effectué par le directeur général le col Karim Coulibaly. En tout cas, je suis rassuré de ce j’ai vu. Je suis sûr que les normes internationales sont respectées », s’est satisfait Paul Adalikwu.
Il a par ailleurs accédé aux doléances formulées par le premier responsable de l’Arstm, qui lui a présenté le plan stratégique et académique de son institution qui sont résumés essentiellement à travers des projets de renouvellement des équipements, des programmes de bourses et des stages embarqués pour les étudiants. Toute chose qui permettrait à cette institution au cœur des enjeux maritimes de consolider sa position de leader en matière de formation en sûreté et sécurité maritime et portuaire. Et être également un centre de référence dans le secteur maritime.
Pour le directeur général de l’Arstm, son organisation attend beaucoup de l’Omaoc pour relever les défis qui sont devenus énormes en la matière. Le Secrétaire général de l’Omaoc a décrit les nombreuses difficultés rencontrées dès sa prise de fonction à la tête de l’institution maritime. Une situation malencontreuse pour une aussi importante organisation de plus de vingt cinq pays. Doucement mais sûrement, le nouveau secrétaire général est entrain de redonner vie à l’Omaoc qui a besoin de financement des Etats tiers.