Stratégie nationale de la sécurité routière : Les acteurs ont fait le bilan de la phase 1
Plusieurs acteurs du transport routier étaient réunis en atelier ce mercredi 15 septembre 2021 à l’hôtel Ivotel au Plateau, pour faire le bilan de la phase de sensibilisation à la sécurité routière et dégager des perspectives d’amélioration des acquis.
Différentes présentations en plénière ont marqué les travaux de cet atelier, notamment celles de la Direction de la Communication du Ministère des Transports, de la Direction Générale des Transports Terrestres et de la Circulation (DGTTC), de l’Office de Sécurité Routière (OSER), de l’opérateur Quipux Afrique, du Haut Conseil du Patronat des Entreprises de Transport Routier de Côte d’Ivoire (HC PETR-CI), de la Coordination nationale des Gares Routières de Côte d’Ivoire (CNGRCI), de la Police nationale, de la Gendarmerie nationale et bien d’autres structures impliquées dans les procédures d’immatriculation des véhicules automobiles.
Présent à cet atelier, Coné Dioman, Directeur de cabinet, représentant le Ministère des Transports, Amadou Koné, a invité les participants à contribuer activement au bilan et à faire des contributions de qualité, les rassurant sur la transmission effective des résultats et la mise en œuvre urgente des recommandations. Pour sa part, Kouakou Romain, Coordonnateur de la Stratégie nationale 2021-2025 pour la sécurité routière, a dressé le bilan des opérations et des actions effectuées tout au long de la phase de sensibilisation. Il s’agit notamment de l’organisation d’ateliers de
formation et d’information des acteurs du secteur et de la société civile, de l’adoption de plusieurs textes réglementaires, de la distribution des prospectus de sensibilisation et surtout de la mise en fonction d’un centre d’assistance technique appelé couramment le 1302.
Pour rappel, la campagne de sensibilisation marquant la phase 1 du déploiement de la stratégie nationale pour la sécurité routière a officiellement pris fin le 6 septembre dernier, ouvrant la voie à la phase de répression. La Côte d’Ivoire entend ainsi réduire de 50% le nombre des accidents sur ses routes.